Catégorie Gestion d’Entreprise

Dans le secteur de l’automobile, la précision et l’efficacité sont des éléments essentiels pour le bon fonctionnement de l’entreprise.

Notamment pour la gestion des ordres de réparation. 

Avec ses fonctionnalités avancées, Kwixeo se présente comme la solution idéale pour transformer cette tâche souvent complexe en un processus fluide et automatisé.

Qu’est-ce qu’un ordre de réparation en garage auto et moto ? 

Un ordre de réparation est un document contractuel entre le garage et le client. Il détaille les travaux à effectuer sur le véhicule, le coût estimé et le délai de réalisation.

Ce document sert à protéger les deux parties en cas de litige et assure une transparence dans les transactions.

L’importance de l’automatisation des ordres de réparation 

Automatiser la gestion des ordres de réparation offre plusieurs avantages : 

  • Réduire les erreurs humaines 
  • Accélérer et fluidifier le processus d’intervention
  • Permettre un suivi en temps réel
  • Favoriser une bonne communication entre les techniciens 
  • Améliorer la satisfaction client

Comment Kwixeo facilite la gestion des ordres de réparation 

Kwixeo propose des fonctionnalités spécifiques pour la gestion des ordres de réparation.

Par exemple, créer des ordres de réparation personnalisés, suivre l’état de la réparation en temps réel, envoyer des notifications.

De plus, la fonctionnalité de paiement en ligne facilite encore plus le processus de paiement pour les clients.

logiciel de facturation kwixeo

Autres fonctionnalités utiles pour les garages auto et moto 

Au-delà de la gestion des ordres de réparation, la solution logicielle tout en un Kwixeo, propose aussi des fonctionnalités utiles pour les garages ou les centres de réparation. Entre autres : 

Gestion des stocks : Kwixeo vous permet de suivre en temps réel les niveaux de stock de vos pièces et matériaux, évitant ainsi les ruptures de stock inopinées.

Planification des techniciens : Optimisez le temps de travail de vos techniciens en planifiant leurs interventions directement depuis le logiciel.

Facturation automatique : Envoyez des factures et des reçus en un clic, directement depuis l’interface de Kwixeo.

Suivi des paiements : Gardez une trace de tous les paiements reçus et à venir, et relancez automatiquement les factures impayées.

Exports comptables : Exportez toutes vos données pour une intégration facile avec votre logiciel comptable.

Les avantages pour le garage et les clients 

L’utilisation de Kwixeo pour gérer les ordres de réparation présente des avantages tant pour le garage que pour les clients. 

Pour le garage :

  • Efficacité accrue : L’automatisation des ordres de réparation permet de gagner un temps précieux, ce qui se traduit par une augmentation de la productivité et, par conséquent, de la rentabilité.
  • Réduction des erreurs : L’automatisation minimise les risques d’erreurs humaines dans le calcul des coûts et les détails des services.
  • Meilleure organisation : Avec toutes les informations centralisées dans un seul système, la gestion des tâches devient plus fluide, permettant une meilleure organisation de l’atelier.

Pour les clients :

  • Transparence : Les clients peuvent suivre l’état de leur réparation en temps réel, ce qui renforce la relation de confiance.
  • Rapidité du service : L’efficacité d’un garage ou d’un centre de réparation se traduit par des délais plus courts, ce qui est toujours apprécié par les clients.
  • Facilité de paiement : Avec des options de paiement flexibles et des factures envoyées directement par e-mail, le processus de paiement devient beaucoup plus simple pour le client.

Conclusion 

Si vous cherchez à optimiser la gestion des ordres de réparation dans votre garage auto ou moto, Kwixeo est la solution qu’il vous faut.

Demandez dès maintenant un essai gratuit pour découvrir comment Kwixeo peut révolutionner la gestion quotidienne de votre garage.

La gestion de chantier a longtemps été une tâche laborieuse, nécessitant de jongler entre des dossiers papier volumineux, des communications éparpillées et une planification complexe.

Avec la digitalisation, une nouvelle ère s’ouvre pour les professionnels du BTP. 

L’impact de la digitalisation sur la gestion de chantier

La digitalisation a transformé la façon dont les entreprises du BTP gèrent leurs chantiers. En effet, les outils numériques simplifient la planification, facilitent la communication et offrent une meilleure visibilité sur les projets. 

Les logiciels de gestion de chantier, par exemple, permettent de suivre en temps réel l’avancement des travaux, de gérer efficacement les ressources et d’assurer une meilleure coordination entre les différentes équipes. Ils offrent également des outils pour le suivi financier, la gestion des documents et le respect des normes de sécurité. 

La digitalisation offre également la possibilité d’automatiser certaines tâches répétitives, comme la génération de rapports ou la facturation. Cette automatisation permet de gagner un temps précieux, qui peut être réinvesti dans des tâches à plus forte valeur ajoutée.

Les avantages de la digitalisation de la gestion de chantier

Voici les principales raisons pour lesquelles les entreprises du BTP adoptent la digitalisation de la gestion de chantier :

Gain de temps

Les outils numériques automatisent de nombreuses tâches, ce qui permet de gagner du temps et d’optimiser le travail de chacun.

Amélioration de la communication

Les solutions digitales permettent une communication en temps réel entre tous les acteurs d’un projet, ce qui facilite la collaboration et la prise de décision.

Réduction des erreurs

La digitalisation aide à minimiser les erreurs et les oublis en automatisant les tâches et en facilitant le suivi des projets.

Accessibilité

Les outils numériques permettent d’accéder aux informations du chantier à tout moment et en tout lieu, ce qui est particulièrement utile pour les entreprises ayant plusieurs chantiers en cours.

Gestion de chantier - Kwixeo

Les problématiques de la digitalisation dans le secteur BTP

Bien que la digitalisation offre de nombreux avantages, elle présente également des problématiques. Le principal est la résistance au changement, beaucoup d’entreprises du BTP ont du mal à abandonner leurs anciennes méthodes de travail et à adopter de nouveaux outils numériques. 

Il est donc crucial de mettre en place un accompagnement adapté pour aider les équipes à se familiariser avec ces nouveaux outils. Des formations peuvent être proposées, ainsi que des supports de formation en ligne. Il est également important de choisir des outils intuitifs et faciles à utiliser.

Kwixeo, une solution innovante pour la gestion de chantiers

Avec sa solution de gestion de chantiers digitalisée, Kwixeo offre une multitude d’avantages qui se traduisent par la vie des entreprises du BTP. 

Interface intuitive

Kwixeo est conçu pour être facile à utiliser, même pour les non-techniciens. Son interface intuitive réduit le temps d’apprentissage et permet une prise en main rapide.

Outil tout-en-un

De la planification à la facturation, en passant par la gestion des devis et la coordination des équipes, Kwixeo offre une solution complète pour gérer toutes les facettes de vos chantiers.

Personnalisable

Chaque entreprise a des besoins spécifiques. C’est pourquoi Kwixeo est entièrement personnalisable, en s’adaptant à vos processus.

Accessibilité

Accédez à vos projets à tout moment et en tout lieu, à partir de n’importe quel appareil connecté à Internet. Cela offre une flexibilité maximale dans la gestion de vos chantiers.

Amélioration de la communication

La communication entre les différentes parties impliquées d’un chantier est facilitée. Les informations sont centralisées et mises à jour en temps réel, permettant à tous de travailler avec les données les plus récentes.

Gestion efficace des ressources

Kwixeo vous permet de suivre en temps réel l’utilisation de vos ressources, de votre matériel et de votre main d’œuvre, afin de faciliter et d’optimiser leur utilisation.

La Digitalisation de la Gestion de chantiers avec Kwixeo

La digitalisation de la gestion de chantiers n’est plus une option mais une nécessité dans le secteur du BTP. Elle offre de nombreux avantages, de l’amélioration de la communication à l’optimisation des ressources, en passant par l’accessibilité et la réduction des erreurs.

Avec Kwixeo, la digitalisation de la gestion de chantiers devient une réalité accessible, apportant son lot d’efficacité et de productivité. Ne tardez plus, essayez Kwixeo dès maintenant et découvrez comment nous pouvons révolutionner votre manière de gérer vos chantiers.

Besoin de plus d’informations ? N’hésitez pas à demander une démo gratuite pour découvrir toutes les fonctionnalités de Kwixeo et son potentiel pour la gestion de vos chantiers.

L’importance d’une gestion de stocks efficace

Dans un environnement commercial de plus en plus compétitif, une gestion de stocks précise et efficace est devenue cruciale pour toute entreprise.

En évitant les ruptures de stock et en limitant le surstockage, vous pouvez réaliser des économies considérables et améliorer la satisfaction de vos clients.

Comment améliorer la gestion des stocks ?

Améliorer la gestion des stocks nécessite de la rigueur et de l’organisation, indispensables pour avoir une vision claire et fiable. Voici quatre points sur lesquels vous pouvez travailler immédiatement pour améliorer la gestion de vos stocks :

Évaluez votre situation actuelle

Commencez par faire un bilan précis de votre fonctionnement actuel. En comprenant le rôle et le fonctionnement de tous les maillons de la chaîne, vous pourrez identifier les aspects spécifiques de votre système qui doivent être améliorés.

Contrôlez régulièrement vos stocks

Connaître précisément la quantité de chaque article en stock est essentiel. Cela vous permet de détecter les écarts entre votre stock physique et vos données, qui peuvent être dus à des produits perdus, volés ou abîmés.

Automatisez les actions de réapprovisionnement

Un processus maîtrisé de réapprovisionnement vous permet de ne jamais être en rupture de stock. Adopter une politique de réapprovisionnement de stocks à des niveaux prédéterminés vous assure une disponibilité constante de vos produits.

Identifiez le comportement de vos clients

Reconnaître les tendances et les cycles dans les commandes de vos clients vous permet d’anticiper les périodes creuses et les pics d’activité. Ainsi, vous pouvez toujours avoir des stocks adaptés à la demande.

kwixeo - gestion des stocks

La digitalisation sur la gestion de stocks

L’utilisation d’outils digitaux peut grandement faciliter la gestion de vos stocks. Ces outils offrent une vue en temps réel de vos stocks, optimisent les niveaux de stock, et simplifient la gestion des commandes et des fournisseurs. Kwixeo est l’ une de ces solutions numériques. Ce logiciel de gestion tout-en-un vous permet :

Un suivi en temps réel de vos stocks

Avec Kwixeo, vous avez une vision claire de vos stocks en temps réel. Vous pouvez savoir exactement combien de produits vous avez en stock, où ils se trouvent, et quand vous devez les réapprovisionner. Cela vous permet d’éviter les ruptures de stock et de répondre efficacement à la demande de vos clients.

Une optimisation de vos niveaux de stock

Kwixeo vous aide à définir les niveaux de stock optimaux pour chaque produit. Grâce à son système d’alertes automatiques, vous êtes prévenu lorsque le stock d’un produit atteint un seuil critique. Cela vous permet de passer les commandes au bon moment et d’éviter les surstocks.

Une gestion simplifiée de vos commandes et fournisseurs

Kwixeo facilite la gestion de vos commandes et de vos fournisseurs. Vous pouvez créer et suivre vos bons de commande, gérer vos relations avec vos fournisseurs, et même automatiser certaines tâches pour gagner du temps.

Kwixeo : une solution tout en un pour la gestion de votre entreprise

En plus de ses fonctionnalités de gestion de stocks, Kwixeo offre de nombreuses fonctionnalités, comme la facturation, la gestion des clients (CRM), la gestion de projets, etc…

Son interface intuitive et simple d’utilisation est accessible à tous et facilitera le travail collaboratif.

Optimisez votre gestion de stocks avec les bons outils

Une bonne gestion de stocks peut être un défi, mais avec les bonnes méthodes et les bons outils, elle peut facilement devenir un avantage concurrentiel. 

En évaluant vos méthodes actuelles, en contrôlant régulièrement vos stocks, en systématisant vos actions de réapprovisionnement, et en comprenant le comportement de vos clients, vous pouvez grandement améliorer la gestion de vos stocks. 

Prêt à optimiser la gestion de vos stocks ? Commencez dès aujourd’hui avec un essai gratuit de 15 jours de Kwixeo. 

Dans un monde numérique en constante évolution, les outils collaboratifs ont pris une place centrale dans le fonctionnement quotidien des entreprises. Cependant, la multiplication des plateformes peut présenter autant d’avantages que d’inconvénients. D’où l’intérêt d’opter pour une solution tout-en-un comme Kwixeo.

Les avantages de la multiplication des outils collaboratifs

La variété des outils collaboratifs sur le marché offre une grande flexibilité aux entreprises. Chaque outil a sa spécificité, sa force et sa fonction. Parmi les plus couramment utilisés, on retrouve :

  • Trello pour la gestion de projets,
  • Slack pour la communication interne,
  • Google Drive pour le partage de documents,
  • Asana pour le suivi des tâches,
  • Zoom pour les réunions à distance, et bien d’autres encore.

Cette multitude de solutions permet à chaque entreprise de construire son propre écosystème numérique, adapté à ses besoins spécifiques. De plus, la concurrence entre les différents fournisseurs pousse à l’innovation, ce qui profite aux utilisateurs finaux.

Les inconvénients d’une trop grande dispersion

Cependant, cette multiplication des plateformes peut aussi être source de confusion et de perte d’efficacité. Gérer plusieurs outils nécessite de jongler constamment entre différentes interfaces, ce qui peut nuire à la productivité. De plus, chaque outil a ses propres méthodes de travail et paramètres de sécurité, ce qui peut entraîner des problèmes de cohérence et de protection des données. 

Enfin, la facturation peut rapidement devenir complexe lorsque l’on doit gérer plusieurs abonnements simultanément.

Outils collaboratifs :la solution tout-en-un de Kwixeo

Face à ces problématiques, une solution tout-en-un comme Kwixeo présente de nombreux avantages. En regroupant l’ensemble des outils nécessaires à la gestion de votre entreprise en une seule plateforme, Kwixeo simplifie considérablement le quotidien des équipes. 

Fini le jonglage entre les applications et les problèmes de compatibilité, tout est centralisé, intuitif et sécurisé.

En intégrant des outils de gestion de projet, un CRM, de facturation et bien plus encore, Kwixeo couvre un large éventail de besoins, éliminant ainsi la nécessité de faire appel à des solutions externes.

En outre, Kwixeo va au-delà du simple rassemblement d’outils. L’interface est conçue pour favoriser la collaboration et l’efficacité. Vous pouvez par exemple attribuer des tâches, suivre l’avancement des projets en temps réel, partager des documents, ou encore discuter directement avec vos collègues au sein de la plateforme.

Le travail à distance avec Kwixeo

Avec l’essor du travail à distance, une solution tout-en-un comme Kwixeo prend encore plus de sens. En effet, elle permet à tous les membres de l’équipe, quels que soient leur lieu de travail et leur fuseau horaire, d’accéder aux mêmes informations et outils. Cela favorise la cohérence, l’efficacité et l’esprit d’équipe, tout en réduisant les risques d’incompréhension ou d’erreurs.

Le choix de la simplicité et de l’efficacité

En somme, si la multiplication des outils collaboratifs offre une grande flexibilité, elle peut aussi être source de complexité et de perte d’efficacité. Face à ces enjeux, Kwixeo offre une solution tout-en-un qui permet de gagner en productivité, en cohérence et en sécurité.

Vous n’êtes pas encore convaincu?  Pas de problème! Kwixeo offre un essai gratuit de 15 jours pour vous permettre de découvrir par vous-même tous les avantages de cette solution tout-en-un.

Ne manquez pas cette opportunité d’améliorer votre gestion d’entreprise et de renforcer votre travail collaboratif.

De nouveaux moyens sont mis au service des entreprises grâce à la dématérialisation. Parmi eux, on trouve notamment la télédéclaration, processus qui permet à ces entreprises de déclarer leurs revenus fiscaux par voie numérique. Zoom sur ce nouvel outil et ses procédures.

Télédéclaration : définition et avantages

En quoi consiste la télédéclaration ?

La télédéclaration désigne le processus de déclaration en ligne, on parle ici principalement de déclarations fiscales et administratives. Permise grâce à la transformation digitale et la dématérialisation, la télédéclaration permet à celui qui déclare d’effectuer sa déclaration par l’intermédiaire d’un service en ligne sur internet et remplace donc l’envoi par courrier. Seul le support change, les informations envoyées restent les mêmes.

Quels sont les avantages de la déclaration en ligne ?

La déclaration en ligne offre de nombreux avantages :

  • Gain de temps : elle s’établit en quelques clics en ligne et ne nécessite donc ni impression, ni envoi postal. De plus, les mentions sont pré-remplies, ce qui ajoute un gain de temps supplémentaire.
  • Sécurité et traçabilité des échanges avec le service des impôts. Un accusé de réception est notamment envoyé immédiatement après dépôt du dossier dématérialisé. 
  • Délai supplémentaire : le temps d’envoi à compter sur l’envoi postal est supprimé
  • Suivi de l’état d’avancement des déclarations offert par le service en ligne. De plus, le service de déclaration en ligne est accessible à tout moment et de n’importe où.

La télédéclaration pour les entreprises : comment fonctionne t-elle ?

Qu’est-ce que doit déclarer l’entreprise à l’administration fiscale ?

Chaque année, chaque entreprise est tenue d’envoyer à son Service des Impôts des Entreprises un document qui reprend l’essentiel des informations comptables de l’année écoulée, ainsi que la déclaration de résultat de l’entreprise.

La télédéclaration s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux entreprises. Selon le code générale des impôts, les entreprises sont tenues de déclarer chaque année au Service des Impôts des Entreprises leur liasse fiscale, dans les 3 mois de la clôture de l’exercice comptable.

La liasse fiscale est composé de formulaires souvent référencés par leur « numéro cerfa », elle regroupe l’ensemble des documents fiscaux établis à la fin d’un exercice comptable et fiscal, tels que :

  • Le bilan comptable (actif-passif)
  • Le compte de résultat
  • L’état des immobilisations, des amortissements et des plus ou moins values
  • Les provisions, déficits reportables, et amortissements dérogatoires
  • La valeur ajoutée de l’exercice
  • La répartition du capital social
  • L’état des filiales et des participants

Ainsi, la liasse fiscale permet de rendre compte de la situation comptable de l’entreprise et fournit les justifications des résultats imposables pour le centre des finances publiques. De fait, le résultat fiscal de l’entreprise permet de déterminer la base qui sera soumise soit à l’impôt sur les sociétés (IS) soit à l’impôt sur le revenu (IR).

Quelles sont les téléprocédures pour les entreprises ?

Dans le cadre de la déclaration fiscale en ligne, deux types de téléprocédures s’offrent aux professionnels :

  • Mode EFI (Échange de Formulaires Informatisé) : le professionnel peut réaliser gratuitement ses opérations directement sur l’espace professionnel du site impots.gouv.fr.
  • Mode EDI (Échange de Données Informatisée) : le professionnel peut réaliser ses opérations par l’intermédiaire d’un partenaire EDI (comptable ou prestataire mandaté). Ce dernier sera alors chargé de faire le lien entre l’entreprise et l’administration fiscale en transmettant les déclarations et paiements effectués par l’entreprise au fisc.

A noter que la Direction Générale des Finances Publiques (DGFIP) autorise le mode EFI uniquement pour ce type d’opérations et de de paiements :

  • Déclaration de la TVA
  • Dépôt de demande de remboursement de crédit de TVA
  • Paiement de l’impôt sur les sociétés, la contribution économique territoriale, et la taxe sur les salaires
  • Dépôt de demande de remboursement de TVA dans l’UE (Union européenne)

Ainsi, la DGFIP impose le passage par un partenaire EDI aux entreprises pour la déclaration de leur résultat annuel et de leurs annexes (la liasse fiscale).

En conclusion

Ainsi, les entreprises peuvent donc télétransmettre leurs déclarations professionnelles et payer leurs différentes échéances auprès de la DGFiP par voie électronique. Différents types de téléprocédures s’offrent néanmoins à elles et il est important qu’elles se renseignent au préalable sur les modalités en place.

Face à des factures impayées et, l’entreprise peut appliquer une pénalité de retard. En quoi celle-ci consiste-t-elle et quelles sont ses modalités de mise en œuvre ? Réponse dans l’article.

Qu’est-ce qu’une pénalité de retard ?

Dans le cadre d’une relation commerciale, le vendeur fournit un bien ou un service à l’acheteur en échange d’un paiement. Les factures permettent d’encadrer juridiquement ces échanges de biens et de l’établir comme un contrat de vente. Hormis le montant du marché conclu et le détails de la commande, cette facture doit faire figurer les modalités de paiement, notamment le délai de paiement. Ce délai de x jours précise au client la date limite qu’il ne doit pas dépasser pour payer les biens, ou la prestation de services, au vendeur ou prestataire et figure généralement dans les Conditions générales de vente.

Dans le cas d’un dépassement des délais, les clients en retard de paiement peuvent se voir appliquer des pénalités de retard. Ces pénalités dues ci viennent donc sanctionner le retard de paiement, mais elles ont aussi un but préventif puisqu’elles incitent les clients à payer leurs factures dans les échéances figurant sur le document de facturation.

Les délais de paiement varient selon les entreprises et les conditions de règlement. Le plus souvent, le délai de paiement est fixé au 30ème jour suivant la réception des marchandises ou l’exécution de la prestation. S’il peut être supérieur, le nombre de jours ne peut néanmoins jamais dépasser 60 jours à partir de la facturation.

Naturellement, il est crucial que soient mentionnées la politique de paiement exacte de paiement . De fait, le code de commerce impose aux entreprises d’indiquer sur leurs factures la date d’échéance et le taux d’intérêt de retard :

« Tout achat de produits ou toute prestation de service pour une activité professionnelle doivent faire l’objet d’une facturation. La facture doit mentionner la date à laquelle le règlement doit intervenir. Elle précise le taux des pénalités exigibles le jour suivant la date de règlement inscrite sur la facture ainsi que le montant de l’indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement due au créancier en cas de retard de paiement » (Article L 441-3)

 Le fait de ne pas mentionner le taux des pénalités de retard dans la facture et dans les conditions générales de vente est passible d’une amende de 75 000 € (Article L 441-4 du Code de Commerce).

Comment calculer les pénalités de retard et le taux applicable ?

Comment calculer le montant des pénalités ?

Pour calculer les pénalités de retard, il convient d’appliquer à la somme de la créance impayée (TTC) le taux d’intérêt mentionné sur la facture et les CGV, multiplié par le nombre de jours de retard, le tout divisé par 100 fois le nombre de jours de l’année, les pénalités de retard peuvent être calculées par la formule suivante :

Le mode de calcul du montant des pénalités de retard est le suivant : Sommes dues sur la créance impayée (TTC) x taux d’intérêt x (nombre de jours de retard / 365)

Comment fixer le taux d’intérêt ?

Le taux d’intérêt appliqué par défaut dans les CGV correspond généralement au taux directeur de la Banque centrale européenne (BCE) majoré de 10 points. Le taux de refinancement de la BCE étant actuellement fixé à 0%, cela signifie que le taux des pénalités est fixé à 10%.

Toutefois, l’article L. 441-10 du Code de Commerce autorise les entreprises à fixer librement leur taux d’intérêt si elles le souhaitent. Néanmoins, il ne doit pas être en-deçà du taux minimal de 2,37 % (à partir du 1er janvier 2021), ni lui être supérieur à 3 fois le taux d’intérêt légal.

En conclusion

Ainsi, à défaut de paiement à l’échéance, le créancier pourra donc réclamer de plein droit des intérêts de retard. Néanmoins, il est essentiel que les documents commerciaux précisent en amont les conditions d’application des pénalités de retard ainsi que le taux d’intérêt choisi.

Les échanges intracommunautaires, entre pays membres de l’UE (Union européenne), sont soumis à des politiques et régimes d’imposition spécifiques. Parmi elles, on trouve notamment le principe d’autoliquidation entre pays membres. Alors, de quoi s’agit-il et comment facture la TVA dans l’Union Européenne ?

En quoi consistent la collecte de la TVA et le principe d’autoliquidation ?

Qu’est-ce que l’autoliquidation ?

Pour comprendre le processus d’autoliquidation, il faut déjà comprendre le principe de la TVA (Taxe sur la valeur ajoutée). 

La TVA est considérée comme un impôt indirect puisqu’elle n’est pas collectée directement par l’Etat comme l’impôt sur le revenu. De fait, c’est le vendeur ou prestataire qui la va collecter lui-même auprès de ses clients et, à travers sa déclaration de TVA, la reverser ensuite au Trésor Public.

Toutefois, il y a une exception à ce régime d’imposition de la TVA exposé ci-dessus : il s’agit du principe d’autoliquidation. Dans ce cas, la TVA doit être collectée et déclarée par le client lui-même. Ce mécanisme est donc le suivant : le prestataire ou vendeur facture son client hors taxes et c’est au client de déclarer lui-même aux impôts la TVA sur le produit ou service qu’il a acheté.

Pour mieux comprendre ce principe, on peut commencer par imaginer une situation dans laquelle l’autoliquidation ne serait pas mise en place : 

Prenons la situation suivante : une entreprise allemande vend son produit, ou service, à un client français. Avec l’autoliquidation, elle devra lui vendre ce bien avec un prix HT (Hors Taxes). Toutefois, cela ne signifie pas que la taxe disparait : elle est transférée sur la responsabilité du client français. C’est à lui, qui achète le produit au vendeur allemand, de calculer son montant et de la déclarer auprès de l’administration fiscale française selon le taux en vigueur en France.

A quoi sert l’Autoliquidation ?

Le principe d’Autoliquidation de TVA a été instauré pour simplifier les échanges intracommunautaires, ainsi que les opérations fiscales qui en découlent. L’autoliquidation permet d’unifier et de réglementer le cadre juridique de la TVA dans le cadre d’opérations réalisées par des vendeurs ou des prestataires établis hors du territoire français.

L’autoliquidation permet d’éviter que les sociétés étrangères, qui facturent en France, soient contraintes de s’immatriculer sur le territoire français pour déposer des déclaration de TVA en France. Ce mécanisme consiste, pour les entreprises clientes identifiées à la TVA en France, à être elles-mêmes redevables de la TVA en France. Ainsi, le prestataire ou le vendeur établi hors de France facture ses marchandises ou ses prestations de service hors taxe en précisant sur la facture que la TVA est due par le client identifié à la TVA en France.
En France, les entreprises qui peuvent bénéficier de l’autoliquidation dans le cadre des échanges intracommunautaires doivent, pour être éligibles, obligatoirement être immatriculées à la TVA en France. Naturellement, le processus d’autoliquidation ne concerne pas les particuliers et un assujetti implanté en France qui réalise une prestation pour un non-assujetti (un particulier) à l’étranger doit facturer toutes taxes comprises (avec la TVA française).

Autoliquidation : modalité et facturation, comment ça marche ?

Comment facturer en auto liquidation ?

Pour faire valoir l’autoliquidation, les entreprises devront adresser leurs factures en respectant les règles imposées par l’UE.

Voici les éléments qui devront figurer sur la facture sont les suivants :

Autoliquidation de la TVA en cas de sous-traitance dans le BTP

L’autoliquidation de TVA concerne également une majorité des entreprises de sous-traitance de travaux dans le secteur du bâtiment et des travaux publics. (BTP) 

Dans le secteur du bâtiment et de la construction, le principe d’autoliquidation s’applique de manière spécifique. 

En effet, depuis le 1er janvier 2014, l’autoliquidation est obligatoire dans le cadre de travaux de sous-traitance exécutés pour le compte d’un donneur d’ordre assujetti. Dans ce cadre, ce n’est pas au sous-traitant d’acquitter la TVA mais au donneur d’ordre. Dès lors, le sous-traitant facture en HT ses prestations et il n’a ni à déclarer, ni à payer la TVA pour ces opérations.

En conclusion

L’autoliquidation est donc un mécanisme de collecte de TVA inversé sur les transactions réalisées entre des entreprises basées au sein de pays membres de l’UE, il ne s’applique pas aux transactions vers ou depuis un pays situé hors de l’espace économique européen.

La déclaration de la TVA est un processus fiscal essentiel pour permettre aux entreprises de définir la TVA qu’ils doivent à l’Etat. De fait, la Taxe sur la Valeur Ajoutée est un impôt général sur la consommation facturé au client par le prestataire. Alors, comment les entreprises déclarent-elles leur TVA, quel calcul faut-il faire et quelles sont les modalités à suivre ?

Qu’est-ce que la TVA ?

La TVA : un impôt indirect imposé par l’Etat

Par définition, la TVA est une taxe imposé par l’État : selon l’article 283-1 du code général des impôts, le vendeur de produit ou le prestataire de service qui facture la TVA à ses clients est ensuite redevable de cette TVA à l’Etat. De fait, la TVA est un impôt indirect : il n’est pas collecté directement par l’Etat comme l’impôt sur le revenu, c’est le vendeur du produit ou du service qui va collecter lui-même la TVA auprès de ses clients et, à travers sa déclaration de TVA, il sera ensuite chargé de la reverser à l’Etat.

Assujetti et redevable à la TVA : quelles différences ?

Un grand nombre de professionnels est assujetti à la TVA : toute entreprise et tout auto-entreprise qui réalise des opérations économiques, telles que des activités de vente ou des prestations de services. Les activités économiques visées peuvent être commerciales, artisanales, industrielles, libérales, agricoles, civiles ou extractives. Néanmoins, les auto-entrepreneurs soumis au régime de la micro-entreprise ne sont pas assujettis à la TVA : de fait, la politique franchise en base de TVA vient exonérer le micro-entrepreneur de la déclaration et du paiement de la TVA sur les prestations ou ventes qu’elles réalisent.  Il faut noter que l’assujetti à la TVA n’est pas nécessairement redevable à la TVA car il existe des régimes spécifiques de TVA (comme le régime mini-réel de TVA par exemple) et divers types d’exonérations possibles. Le redevable est quant à lui dans l’obligation de payer la TVA et ses opérations ne sont donc pas exonérées car elles sont situées dans le champ d’application de la TVA.

Quels sont les taux de TVA ?

Les taux de TVA applicables en France sont au nombre de quatre :

  • Le taux normal à 20 % 
  • Le taux intermédiaire à 10 %
  • Le taux réduit à 5,5 %
  • Le taux particulier à 2,1 %

A noter que toutes les entreprises basées sur le territoire français sont en mesure de demander le remboursement de la TVA émises dans un autre pays de l’UE, c’est-à-dire État membre de l’Union européenne. De plus, pour les opérations imposables, la taxe à la valeur ajoutée est calculée sur le prix hors taxe et selon des taux variés.

Comment déclarer la TVA ?

TVA collectée et TVA déductible

Pour comptabiliser et déclarer la TVA, les entreprises doivent déduire de la TVA collectée sur les ventes la TVA relative aux achats. 

  • Par « TVA collectée », on entend l’ensemble de la TVA que les clients ont payé aux entreprises lors de l’achat de ses produits ou service en réglant leur impôt sur la consommation. Comme nous l’avons vu, cet argent est en réalité celui de l’Etat car c’est un impôt indirect, et l’entreprise l’a donc collecté pour lui. 
  • Par « TVA déductible »,  on entend la TVA que l’entreprise a elle-même payé lorsqu’elle a acheté des produits ou des services. En d’autres mots, on peut dire que cette TVA déductible correspond à des frais que l’entreprise n’aurait pas dû payer car elle en est dispensée en tant qu’entreprise. 

Pour calculer la TVA due, il suffit donc de partir de la TVA collectée et d’en soustraire la TVA déductible sur les les biens et services, ainsi que les immobilisations. Le résultat fiscal de cette opération correspondra alors au solde TVA à reverser à l’État. 

Déclaration de la TVA : quelles modalités ?

Il existe différents régimes d’imposition (normal ou simplifié) dans le cadre de la TVA.  En fait, le régime adapté est déterminé en fonction du chiffre d’affaires réalisé par l’entreprise et de son montant de TVA exigible annuel (l’exigibilité correspond à la date à partir de laquelle le Trésor public est en mesure de réclamer le paiement de la TVA due au redevable) :

  • Aussi, pour les entreprises qui déclarent moins de 15 000€ de TVA par an, le régime du réel simplifié leur sera appliqué.  La déclaration sera alors annuelle et le paiement  trimestriel. 
  • Pour celles qui déclarent un montant supérieur à 15 000€, le régime du réel normal leur sera appliqué. La déclaration et le paiement seront quant à eux mensuels.

Comment s’opère le contrôle de l’administration fiscale sur la TVA déclarée ?

La TVA perçue par le professionnel doit être obligatoirement reversée aux services des impôts. Ne pas correctement déclarer la TVA au Trésor Public est puni par la loi. Aussi, l’administration fiscale peut à tout moment contrôler la déclaration fiscale des entreprises. Pour cela, elle se basera sur l’examen de la liasse fiscale et le rapprochement entre la déclaration annuelle de résultat. Pour faciliter le suivi et la gestion de la TVA, et assurer une déclaration juste et sans erreur, il est conseillé de faire appel à un expert comptable (particulièrement pour les moyennes à grandes entreprises.)

Conclusion

Ainsi, il est important que les entreprises calculent correctement la TVA qu’elles doivent réellement à l’Etat : c’est ici que la déclaration et le calcul de la TVA due entrent en jeu car elle permet de déterminer, au titre d’un mois ou d’un trimestre, le montant de la TVA nette à payer.

La performance et la productivité d’une entreprise s’accompagnent nécessairement de dépenses et d’investissements financiers. Afin d’anticiper au mieux la nouvelle année à venir et la gestion budgétaire, il est essentiel de réaliser un budget prévisionnel. Ces prévisions financières serviront comme une base fondamentale pour visualiser les entrées et sorties financières, le seuil de rentabilité d’un projet, et gérer leur fond financier en conséquence. Alors, comment établir un budget prévisionnel et comment ça marche ?

Recettes et dépenses : des données clés

Pour fixer un budget prévisionnel pertinent, les entreprises devront prendre en compte deux types de données cruciales : les dépenses et les recettes. De fait, le prévisionnel financier correspond à une feuille de route à suivre pour l’année civile et fiscale à suivre, il est ainsi essentiel que le tableau financier regroupe l’ensemble des charges et recettes de l’entreprise pour offrir à l’entreprise la vision la plus réaliste possible.

Les postes de dépenses correspondent au flux de trésorerie sortant, elles comprennent toutes les charges et les coûts que l’entreprise devra payer. Pour calculer les dépenses prévisionnelles, il faut compter par exemple les achats de matières premières ou de produits, les impôts et taxes, les frais généraux et charges externes (énergie entretien, administration, loyers, fournitures, charges de copropriété, assurances, publicité, frais de déplacement, charges sociales, etc.), les salaires et charges patronales, ou encore les intérêts des emprunts. 

Quant aux recettes, elles correspondent au flux de trésorerie entrant, à ne pas confondre cependant avec les bénéfices ou le chiffre d’affaires de l’entreprise. Une recette correspond tout simplement à une rentrée d’argent dans la caisse de l’entreprise. Pour calculer les recettes prévisionnelles, il faut prendre en compte les ventes et les prestations issues de l’activité de l’entreprise comme la vente de marchandises, les prestations de services, la production stockée, ainsi que les subventions et sources de financement diverses.

Les tableaux financiers : constituants majeur du budget prévisionnel

Le prévisionnel financier regroupe plusieurs tableaux financiers : 

  • Le compte de résultat prévisionnel
  • Le bilan comptable prévisionnel (immobilisation, créances clients et stocks, capitaux propres, dettes financières et dettes fournisseurs)
  • Le plan de financement prévisionnel 
  • Le budget de trésorerie (encaissements-décaissements purement bancaires, mois par mois)

Généralement, ces tableaux s’accompagnent d’annexes tels que par exemple le tableau d’amortissement, le tableau de remboursement d’emprunt ou encore les soldes intermédiaires de gestion. Ainsi, ces tableaux prévisionnels offrent une vue large sur toute la partie financière de l’entreprise et les indicateurs financiers pertinents (taux de rentabilité, taux d’endettement, capacité d’autofinancement, besoin en fonds de roulement, chiffre d’affaire, écarts, ratios d’endettement, point mort, etc.) qui permettent ensuite de constituer un business plan solide à présenter aux investisseurs.

Modèle prévisionnel : sur quelle base le construire ?

La meilleure méthode pour calculer les dépenses et recettes à venir consiste à se baser sur les années d’exercice passées de l’entreprise. Idéalement accompagnée d’un expert-comptable, l’entreprise peut ainsi reprendre ses comptes de l’année précédente afin d’évaluer le plus justement les diverses charges et frais à prendre en compte dans son bilan prévisionnel. Pour assurer une anticipation pertinente, il est important de ne pas sous-évaluer les dépenses courantes et l’analyse du bilan financier doit aussi être attentive de sorte à n’oublier aucun élément (financement initial et fonds propres, délais de paiement, charges fixes). Selon la structure et le secteur d’activité, l’entreprise pourra aussi ajouter des provisions et des amortissements.De même, pour établir un prévisionnel des recettes réaliste, il vaut mieux rester prudent et ne pas majorer ces recettes. 

Concernant les entreprises nouvelles, l’élaboration du budget prévisionnel est plus complexe car le projet de création d’entreprise est un processus neuf, elle peut se baser sur des estimations faites à partir de données collectées lors d’une étude de marché et d’enquêtes de terrain réalisées auprès des fournisseurs (devis, prix, frais et conditions, etc.) et auprès des clients potentiels (budget maximum, pouvoir d’achat, etc.). 

En conclusion

Le financier prévisionnel est un outil de pilotage stratégique car il permet de matérialiser les flux financiers et d’apprécier la viabilité d’un projet. Loin de se limiter à un simple exercice comptable, les budgets prévisionnels sont donc avant tout des outils de gestion et de management qui ont surtout pour but de fixer des objectifs et de définir la stratégie à suivre.

Le choix d’un fournisseur d’accès à Internet n’est pas facile surtout dans le cadre d’une activité professionnelle. Il faut en effet prendre en compte un ensemble de critères favorables aux activités de l’entreprise tout en restant le moins éprouvant possible pour la comptabilité. C’est pour cela que nous vous proposons de découvrir dans cet article comment trouver les meilleurs fournisseurs Internet pour votre entreprise.

Il existe de nombreux fournisseurs d’accès à Internet en France. On peut citer notamment Bouygues, Orange, Free, Sosh, SFR. Tous ces fournisseurs proposent des offres aussi variées les unes que les autres.

Pour une activité professionnelle, il est préférable d’opter pour une box Internet illimitée plutôt que de choisir un forfait mobile avec une limitation de données. Cela vous permet de travailler en toute quiétude.

Selon les conseillers de Boutique box internet, les meilleurs box Internet du moment sont :

  • La Freebox Révolution ;
  • La Bbox Must de Bouygues ;
  • La RED Box Fibre.

Pour avoir la meilleure qualité de connexion, la fibre optique est la technologie idéale. Les experts de la Boutique box internet estiment par exemple qu’une offre fibre chez Orange permet d’obtenir jusqu’à 2Gb/s de débit.

Toutefois, l’ADSL et la 4G restent des alternatives intéressantes si votre entreprise est située dans une zone non encore éligible à la fibre.

Comparer les tarifs fibre d’Orange, SFR, Bouygues, etc.

Il est très important de connaître les tarifs pratiqués par les différents FAI avant de souscrire à un abonnement Internet. Les tarifs fibre varient selon les fournisseurs et les abonnements choisis.

Comme expliqué dans le guide de la Boutique box internet, les tarifs fibre d’Orange par exemple sont assez abordables et offrent les mêmes privilèges en termes de performances et de débits que les offres fibre de Bouygues ou Free. Le recours à un comparateur est important car connaître les tarifs ne suffit pas pour choisir.

Il faut pouvoir analyser tous les contours de l’offre, surtout si elle est avec engagement. Il faut également pouvoir analyser les performances de la fibre selon l’offre.

Quelques astuces pour trouver le meilleur fournisseur Internet pour son entreprise

L’une des premières choses à prendre en considération pour trouver le meilleur fournisseur d’accès à Internet pour son entreprise est le critère d’éligibilité.

En effet, le critère d’éligibilité détermine si vous pouvez, en fonction de votre zone géographique et de vos équipements, bénéficier de telle ou telle installation. C’est pour cela que certains fournisseurs réalisent dès le premier contact le test d’éligibilité afin d’éviter toute surprise.

Cliquez ici pour vérifier votre éligibilité à la fibre chez les différents fournisseurs. Cela vous permettra d’être fixé et d’avoir une idée claire des possibilités que vous avez afin de choisir l’offre qui vous avantage le plus.

Une fois la question de l’éligibilité évacuée, il faut faire attention à d’autres aspects comme :

  • La couverture géographique du FAI ;
  • Le coût global de l’offre ;
  • La fluidité et la rapidité de la connexion ;
  • Le service après-vente.